Quand on parle de marketing direct, l’usage de base de données est radical. Il est fort probable de tomber sur des mauvais interlocuteurs. On n’est jamais à l’abri des mauvais fichiers. Bien que les risques soient moins considérables, ils sont présents. Il est aussi assez complexe de savoir si la base d’emails est vraiment de bonne qualité qu’après avoir fait des analyses sur le résultat de la campagne. Malgré cela, il n’y aura plus rien à faire à part relancer la campagne avec une nouvelle base d’emails. Et puis, pour lutter contre l’abus de certaines entreprises avec l’emailing, le risque de tomber sur le spam est de plus en plus important. Il existe des solutions mais elles ne sont pas garanties à 100%.
Ce qui est le plus inévitable en emailing est aussi d’obtenir un grand nombre de désabonnés. Les destinataires sont libres de ne plus recevoir un message venant de l’entreprise en cliquant sur la mention « se désabonner ». Mais il y a aussi le taux d’ouvertures qui peut être surprenant mais aussi décevant. Une entreprise ne peut pas se permettre de lancer une campagne d’emailing à chaque fois. Si elle en abuse, le taux d’ouverture diminuera de plus en plus. Par contre, pour d’autres formes de publicités, elle peut faire un maximum. Au contraire, plus elle en fait, plus elle se fera connaître (plaque publicitaire, spot publicitaire, sponsoring). Alors qu’en emailing, plus elle en fait, moins la campagne est efficace.